Tweet
Instantané

La vie d'Anderson Cooper est plus belle que la votre

Par Olivier Khar   
Le 24/04

Anderson Cooper est à CNN ce que David Pujadas est à France 2 : la classe à l’état pur. Sévissant chaque soir de la semaine sur la plus grande chaîne d’information mondiale, il est de tous les combats : séisme en Haïti, famine en Somalie, attentats du 11 septembre... Retour en images sur cette icône du petit écran US, après cette folle semaine Bostonienne.

Channel One

 
Anderson Cooper n’a une nouvelle fois pas chômé la semaine dernière. Lundi, deux bombes explosent à l’arrivée du marathon de Boston. Ni une ni deux, il file dans le Massachusetts pour couvrir l’événement. Le dernier en date dans son CV bien chargé... Sa carrière médiatique débute avec les années 1990, lorsqu’il part pour le Myanmar avec une fausse carte de presse et réussit à vendre des émissions tournées avec un camescope à Channel One, chaîne américaine productrice de contenus éducatifs, diffusée dans les collèges et les lycées du pays. C’est avec Channel One qu’il connaît ses premières émotions, notamment à Sarajevo en 1993.
 
 
 

Qui aime les bêtes aime les gens

Sur le plateau d’Anderson Cooper Live, les stars américaines se succèdent. Et qu’on se le dise, il n’y a pas que Christophe Dechavanne qui aime les animaux. Un tumblr spécial est dédié à Anderson + chien, Anderson + chat, Anderson + panda...
 
 
 
 

Le syndrome Kristen Stewart

Le 2 juillet 2012, Anderson Cooper révèle au monde qu’il est gay : “depuis toujours, pour toujours, et je ne pourrais pas être plus heureux”. Dès lors, on lui cherche un bon ami, et on le trouve en la personne d’Antoine Benjamin Maisani, un corse de 40 ans. Alors que l’on parle mariage, deux mois plus tard, patatras, c’est l’accident bête. Ben est surpris dans un parc New Yorkais, la bouche dans celle d’un homme qui visiblement n’est pas Cooper.
 
 
 

Prendre un enfant par la main

Anderson Cooper, 45 ans, n’a pas perdu de sa fougue juvénile. Le 12 janvier 2010, lorsqu’un séisme frappe Haïti, il fonce et comme à son habitude trouve sa place au milieu de la population qui lutte pour sa survie. Alors qu’il filme une scène de pillage, il transporte un enfant blessé, ensanglanté, jusqu’à ce que celui-ci soit hors de danger. L’héroïsme américain dans toute sa splendeur. Il n’y aura guère que Closer pour soulever le doute et parler de mise en scène.
 
Tweet
 

Tous les commentaires

Les commentaires

Les articles les + lusLes Standards de SAM

Pressing

Retour sur l'événement de la semaine et son traitement dans la...

Pressing, le 15/09

Actuel

Les équipes de France et d’Allemagne de football s’affrontent ce...

Sport, le 06/02

Vu, lu, entendu

Le 18 août 1973, le fourgon d’une bande de jeunes gens tombait en...

Cinéma, le 17/08

Suivre @StandardsMore

publicité