Tweet
Instantané | |
La vie d'Anderson Cooper est plus belle que la votre |
Par Olivier Khar
|
Anderson Cooper est à CNN ce que David Pujadas est à France 2 : la classe à l’état pur. Sévissant chaque soir de la semaine sur la plus grande chaîne d’information mondiale, il est de tous les combats : séisme en Haïti, famine en Somalie, attentats du 11 septembre... Retour en images sur cette icône du petit écran US, après cette folle semaine Bostonienne. Channel One
Anderson Cooper n’a une nouvelle fois pas chômé la semaine dernière. Lundi, deux bombes explosent à l’arrivée du marathon de Boston. Ni une ni deux, il file dans le Massachusetts pour couvrir l’événement. Le dernier en date dans son CV bien chargé... Sa carrière médiatique débute avec les années 1990, lorsqu’il part pour le Myanmar avec une fausse carte de presse et réussit à vendre des émissions tournées avec un camescope à Channel One, chaîne américaine productrice de contenus éducatifs, diffusée dans les collèges et les lycées du pays. C’est avec Channel One qu’il connaît ses premières émotions, notamment à Sarajevo en 1993.
Qui aime les bêtes aime les gens
Sur le plateau d’Anderson Cooper Live, les stars américaines se succèdent. Et qu’on se le dise, il n’y a pas que Christophe Dechavanne qui aime les animaux. Un tumblr spécial est dédié à Anderson + chien, Anderson + chat, Anderson + panda...
Le syndrome Kristen Stewart
Le 2 juillet 2012, Anderson Cooper révèle au monde qu’il est gay : “depuis toujours, pour toujours, et je ne pourrais pas être plus heureux”. Dès lors, on lui cherche un bon ami, et on le trouve en la personne d’Antoine Benjamin Maisani, un corse de 40 ans. Alors que l’on parle mariage, deux mois plus tard, patatras, c’est l’accident bête. Ben est surpris dans un parc New Yorkais, la bouche dans celle d’un homme qui visiblement n’est pas Cooper.
Prendre un enfant par la main
Anderson Cooper, 45 ans, n’a pas perdu de sa fougue juvénile. Le 12 janvier 2010, lorsqu’un séisme frappe Haïti, il fonce et comme à son habitude trouve sa place au milieu de la population qui lutte pour sa survie. Alors qu’il filme une scène de pillage, il transporte un enfant blessé, ensanglanté, jusqu’à ce que celui-ci soit hors de danger. L’héroïsme américain dans toute sa splendeur. Il n’y aura guère que Closer pour soulever le doute et parler de mise en scène.
Tweet
|
Les commentaires